Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique (Königliche Museen der Schönen Künste)
Les musées royaux des Beaux-Arts de Belgique (MRBAB), situés à Bruxelles, conservent quelque vingt mille œuvres, peintures, sculptures et dessins. Ils intègrent six musées : le musée Oldmasters, antérieurement appelé « musée royal d'Art ancien » ; le musée Magritte ; le musée Wiertz ; le musée Meunier ; le musée Fin de siècle ; le musée d'Art moderne.
En 1794, de nombreuses œuvres furent saisies et rassemblées par les révolutionnaires français. Quatre ans plus tard, Guillaume Bosschaert fut désigné comme conservateur de ces œuvres, et s'efforça de récupérer d'autres œuvres saisies.
En 1801, le premier consul Bonaparte fonda par l'arrêté Chaptal le musée des Beaux-Arts de Bruxelles, alors ville française, qui reçut de nombreuses œuvres en provenance du Louvre. Le musée ouvrit ses portes en 1803, date à laquelle la ville de Bruxelles en devint propriétaire. Le musée était accessible au public le jeudi et le samedi, les artistes étant autorisés à y travailler les autres jours.
À l'époque du royaume uni des Pays-Bas, le roi essaya d'agrandir les collections et l'édifice de l'ancienne Cour (où se trouve encore actuellement le musée).
Après l'indépendance de la Belgique, le musée, qui appartenait à la ville de Bruxelles, fut cédé à l'État belge. Une section consacrée à l'art belge moderne fut ajoutée au musée en 1845.
En 1919, le musée changea d'appellation pour devenir le « musée royal des Beaux-Arts de Belgique ». Ce nom est de nouveau modifié en 1927 pour son appellation actuelle : « musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ».
En 1794, de nombreuses œuvres furent saisies et rassemblées par les révolutionnaires français. Quatre ans plus tard, Guillaume Bosschaert fut désigné comme conservateur de ces œuvres, et s'efforça de récupérer d'autres œuvres saisies.
En 1801, le premier consul Bonaparte fonda par l'arrêté Chaptal le musée des Beaux-Arts de Bruxelles, alors ville française, qui reçut de nombreuses œuvres en provenance du Louvre. Le musée ouvrit ses portes en 1803, date à laquelle la ville de Bruxelles en devint propriétaire. Le musée était accessible au public le jeudi et le samedi, les artistes étant autorisés à y travailler les autres jours.
À l'époque du royaume uni des Pays-Bas, le roi essaya d'agrandir les collections et l'édifice de l'ancienne Cour (où se trouve encore actuellement le musée).
Après l'indépendance de la Belgique, le musée, qui appartenait à la ville de Bruxelles, fut cédé à l'État belge. Une section consacrée à l'art belge moderne fut ajoutée au musée en 1845.
En 1919, le musée changea d'appellation pour devenir le « musée royal des Beaux-Arts de Belgique ». Ce nom est de nouveau modifié en 1927 pour son appellation actuelle : « musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ».
Carte géographique - Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique (Königliche Museen der Schönen Künste)
Carte géographique
Pays - Belgique
Drapeau de la Belgique |
Située à mi-chemin entre l’Europe germanique et l’Europe romane, la Belgique abrite principalement deux groupes linguistiques : les francophones, membres de la Communauté française et les néerlandophones, membres de la Communauté flamande. Elle comprend également une minorité germanophone représentant environ 1 % de la population et constituant la Communauté germanophone de Belgique.
Devise (monnaie) / Langage
ISO | Devise (monnaie) | Symbole | Chiffre significatif |
---|---|---|---|
EUR | Euro (Euro) | € | 2 |
ISO | Langage |
---|---|
DE | Allemand (German language) |
FR | Français (French language) |
NL | Néerlandais (Dutch language) |